Que pensez-vous des différences relevées lors de ces mesures de distorsions?
EDIT : de la modération pour correction du titre

Modérateur : SYLEX
A tension de sortie identique, le niveau sonore sera identique. Il est préférable de conserver la même unité d'affichage lors des comparaisons.
Google trad :If Use harmonic frequency as ref is selected the reference will be the frequency of the harmonic - for example, at 1 kHz the 2nd harmonic figure will depend on the level of the fundamental at 2 kHz, the 3rd harmonic will depend on the level of the fundamental at 3 kHz and so on. This follows a recommendation made by Steve F. Temme in "How to graph distortion measurements" presented at the 94th AES convention in March 1993. If the response of the system being measured is flat this makes no difference to the results, but when the response is not flat (as for most acoustic measurements) it can remove the influence of the loudspeaker's fundamental response from the distortion figures. As an example, suppose the loudspeaker response was flat apart from a 6 dB peak at 2 kHz. 2 kHz is the 2nd harmonic of 1 kHz, so the 2nd harmonic level shown at 1 kHz will be increased by 6 dB due to the boost in the fundamental when using the excitation frequency as the reference. Similarly the 3rd harmonic level at 667 Hz (2/3 kHz) will be boosted by 6 dB. If the harmonic frequency were used as the reference the distortion figures would not show this boost. Using the harmonic frequency as the reference also provides a more meaningful view of distortion at frequencies below the LF roll-off of the system as otherwise the distortion levels are boosted as the level of the fundamental drops. Note that this option will not affect the traces when the plot is not normalised, but will still affect the values in the legend if the distortion figures are set to read in percent or in dB relative to the fundamental.
Concernant les pentes faibles, c'est un choix de conception.Si l'option Utiliser la fréquence harmonique comme référence est sélectionnée, la référence sera la fréquence de l'harmonique. Par exemple, à 1 kHz, la valeur de l'harmonique 2 dépendra du niveau de la fondamentale à 2 kHz, celle de l'harmonique 3 dépendra du niveau de la fondamentale à 3 kHz, et ainsi de suite. Ceci suit une recommandation de Steve F. Temme dans « Comment représenter graphiquement les mesures de distorsion », présentée lors de la 94e convention de l'AES en mars 1993. Si la réponse du système mesuré est plate, cela ne change rien aux résultats, mais si elle n'est pas plate (comme pour la plupart des mesures acoustiques), cela peut supprimer l'influence de la réponse fondamentale du haut-parleur sur les valeurs de distorsion. Par exemple, supposons que la réponse du haut-parleur soit plate, à l'exception d'une crête de 6 dB à 2 kHz. 2 kHz correspond à la 2e harmonique de 1 kHz. Le niveau de la 2e harmonique affiché à 1 kHz sera donc augmenté de 6 dB en raison de l'amplification de la fondamentale lorsque la fréquence d'excitation est utilisée comme référence. De même, le niveau de la 3e harmonique à 667 Hz (2/3 kHz) sera augmenté de 6 dB. Si la fréquence harmonique était utilisée comme référence, les valeurs de distorsion ne refléteraient pas cette augmentation. Utiliser la fréquence harmonique comme référence permet également d'obtenir une représentation plus précise de la distorsion aux fréquences inférieures à l'atténuation LF du système, car sinon, les niveaux de distorsion sont amplifiés lorsque le niveau de la fondamentale diminue. Notez que cette option n'affecte pas les traces lorsque le tracé n'est pas normalisé, mais qu'elle affecte tout de même les valeurs de la légende si les valeurs de distorsion sont exprimées en pourcentage ou en dB par rapport à la fondamentale.
Plus utile pour le temporel, oui, mais pour l'amplitude, le MMM est nettement plus pratique.
Attention, c'est vrai uniquement si tu as acheté un terrain et construit ton auditorium toi-même. C'est faux dans tous les autres cas de figure.